[Fiche] Naos Anoukis

Identité

Nom : Anoukis
Prénom(s) : Naos
Surnom : Aucun pour le moment du moins pas à sa connaissance.
Age : 18 ans, né le 6 mars 2299
Nationalité : Sélénite (vit à Sélénopolis)
Etat civil : Célibataire (enfin peut-être)
Job: Etudiant en 3ème
Adresse : Collège sur la Lune

Statut : Amélioré

Pouvoir : Cas particulier

Aptitudes : Malgré sa santé fragile, ce qui est plutôt étonnant pour un Amélioré, il arrive néanmoins à suivre le rythme des Améliorés

Clan : Collège

Famille

De façon générale : Il a été adopté et il ne connaît pas sa famille biologique. Ses parents adoptifs sont incapables d’avoir des enfants et donc on désiré adopter un garçon Amélioré. Il fut recueilli dans un orphelinat de Sélénopolis, tout ce qu’il put savoir de ses parents fut qu’ils l’avaient adopté parce qu’il leur avait sourit dès qu’il les avait vu. Il faut croire que tout ce qu’il avait pu vivre avant son adoption n’était en fait qu’un souvenir totalement refoulé et qu’il était très petit lorsqu’il fut recueilli. Sa famille adoptive l’adore et qu’il ne soit pas comme les autres ne les dérangent pas outre mesure, il est pour eux, leur fils unique.

Père : Keith Anoukis, son père adoptif est un homme très terre à terre et purement cartésien, tout ce qui arrive selon lui est explicable de manière scientifique. Il a élevé Naos dans cette optique même si le garçon n’est pas tellement réceptif à son enseignement. Il est chimiste dans un centre d'étude de Sélénopolis.

Mère : Aurore Anoukis est calme et posée, elle ne tente pas de contredire son mari même si au fond d’elle-même, elle aimerait que tous les humains soient égaux afin d’épargner la guerre à son fils unique. Car oui, elle considère sans aucun doute possible Naos comme son fils. Elle est libraire à Sélénopolis et a transmis à Naos son amour des livres.

Autres membres : Aucun, les parents adoptifs de Naos ne pouvant pas avoir d’enfants.

Description

Physique : Le jeune homme n’est pas très masculin physiquement. Il est plutôt androgyne, voire même féminin dans son allure générale. Cela entraine qu’on pourrait le confondre avec une fille, et cela lui est déjà arrivé lorsqu’il était plus jeune. Il mesure près d’un mètre soixante-dix et a une silhouette fine et élancée. Il a une peau assez claire et une allure traduisant des racines visiblement assez éloignées du soleil. Son nom est d’ailleurs de cette origine et a une signification particulière. Son visage fin est encadré par une cascade de cheveux noirs relativement lumineux qui lui arrivent aux épaules. Il détesterait devoir les couper, même s’il est certain que cela lui donnerait peut-être un air plus viril. Ses yeux ambrés en amande se font fréquemment le miroir de son âme et donnent une vie importante à son visage.

En effet, il semble qu’il lui soit impossible de dissimuler ses sentiments qui se lisent d’un manière totale sur son visage. Qu’il soit heureux ou triste, il le montrera par un éclat différent de ses yeux ou une larme sur sa joue. D’être ainsi aussi lisible qu’un livre ouvert ne le dessert pas dans ses relations aux autres, il est très entouré et personne ne cherche à lui faire du mal ou à le contredire quand ils voient qu’il va mal. Comme quoi toute chose est bonne à prendre pour le jeune homme.

Il porte le plus souvent possible un collier de cuir noir et une chaîne en argent avec un symbole mystique en pendentif. La symbolique de ces deux bijoux n’est pas révélée à tous car il préfère les garder pour lui et ne pas attirer l’attention. Il est également presque allergique à l’uniforme du Collège préférant jouer sur le côté mystérieux dont on l’affuble presque en permanence. Il faut dire que malgré son allure ouverte et son visage expressif, il n’est pas particulièrement expansif dans les relations humaines.

Particularité(s) : Il possède une cicatrice sur le crâne dissimulée par ses cheveux plutôt longs pour un garçon.

Attitude : Renfermé sur lui-même mais ouvert aux autres. Il cherchera à aider si possible les autres, mais ne sera pas particulièrement bavard sur lui-même. Il se déplace souvent comme si le monde était en deçà de sa conception et qu’il préfère côtoyer la spiritualité.

Caractère : Comme on l’a vu, son visage est un miroir face à ses émotions qui transitent d’une manière totalement visible et trop lisible parfois à son gout. Ce n’est pas pour autant qu’il est incapable de dissimuler ce qu’il pense, car même s’il ne peut cacher ses sentiments les plus forts, il est devenu un maître dans la dissimulation de ce qu’il pense réellement. Ces deux aspects ne sont pas antithétiques car ils traduisent deux particularités totalement distinctes selon Naos. Pour lui, les sentiments sont un état physique ayant une influence sur le mental et les pensées sont un état mental ayant une influence sur le physique. Il est parvenu à force d’efforts à annuler cette influence ce qui lui a enfin permis d’être lui-même intérieurement. Car oui, il lui faut fréquemment dissimuler ses véritables pensées.

On lui prête de nombreuses qualités qu’il ne possède pas en profondeur. Il est aimable, serviable et a, comme on dit, le cœur sur la main, mais en réalité, même s’il apprécie réellement d’aider les autres, il a souvent envie de les envoyer promener quand ils en viennent à se confier à lui. Il est assez mal dans sa peau du fait de son ignorance de son passé et du mensonge de ses parents adoptifs. Si on ajoute à cela une santé plutôt défaillante pour un Amélioré, on crée un jeune homme semblant gentil mais qui a de plus en plus du mal à se contenir quand on le prend pour un idiot. Car même s’il n’est pas plus intelligent que les autres, il n’est pas non plus moins subtil dans ses raisonnements.

Car en dehors de son envie de se cacher aux autres, il est très intéressé par le côté spirituel de l’existence, vouant sa vie à l’étude de la spiritualité (enfin son relatif temps libre). Car s’il est au Collège c’est également par choix, il ne l’a pas uniquement accepté parce qu’on le lui a demandé, mais pour apprendre et assouvir sa soif de connaissances. Il a, en effet, toujours aimé emmagasiner des connaissances. Il est également devenu presque totalement hermétique aux critiques face à son piètre niveau physique et à sa maladie qui pourraient le marginaliser. Mais cela l’aide parfois car il a fait sien le dicton : « Ce qui ne vous tue pas, vous rends plus fort ».

Histoire

Votre passé :
Naos 4 ans
L'homme marchait rapidement dans les rues de Sélénopolis. Il grimaçait en sentant le poids du petit corps dans ses bras. Il n'avait pas beaucoup de temps et il devait être discret. Les ordres étaient clairs, il fallait se 'débarasser' de l'enfant le plus vite possible. Et pour cela rien de plus facile que de le 'perdre'. On lui avait confié le gosse parce qu'on devait lui trouver un lieu où vivre. Après réflexion, l'endroit idéal lui paru tout trouvé. Il décida de conduire l'enfant sur la Lune où il le laissa à l'orphelinat principal de Sélénopolis avant de disparaître dans la nature.

Naos 5 ans
L’enfant était debout, droit, et il regardait les gens qui passaient auprès de lui sans pour autant les voir. Il semblait perdu dans un monde étrange et étranger où il pouvait rêver en paix. Il ne devait pas avoir plus de quatre ou cinq ans et il était le seul à ainsi être dans son monde. L’orphelinat de Sélénopolis n’était pourtant pas un lieu où le rêve semblait possible. Le couple regardait ce petit garçon avec un sourire sur les lèvres et ils s’approchèrent de lui. Pourquoi fut-il choisi ce jour-là ? Pourquoi lui et pas un autre ? Pourquoi sa respiration sifflante et son air perdu lui donnèrent la chance que beaucoup n’eurent pas ? Le couple ne pu le dire. Peut-être était-ce l’harmonie qui semblait devoir régir la vie, ou bien le sourire de joie lorsqu’ils lui tendirent un bonbon, ou encore l’air totalement angélique du petit visage malgré la pâleur de ses yeux. Mais tout cela fit qu’il fut emmené et renommé Naos Anoukis. Tout cela devait être occulté par la mémoire enfantine, tout comme tout ce qui l’avait précédé.

Après la "perte volontaire" de mémoire
Le passé de Naos lui apparaissait très clair. Il pensait être né à Sélénopolis, avoir vécu avec ses parents biologiques et être très proche d’eux. Il y avait quelques petits points étonnants comme ses yeux ambrés alors que ses parents les avaient bleus tous deux. Et surtout ses problèmes de santé très étranges pour lui et son entourage. Lors de sa petite enfance, il apprit et aima apprendre dès le départ. Il adorait (et adore toujours) apprendre à l’école et maintenant au Collège.

Ses problèmes de santé chroniques lui mirent rapidement la puce à l’oreille. Il fut examiné par les médecins les plus réputés qui lui dirent qu’il souffrait d’anémie chronique et visiblement génétique. Une anomalie rarissime, à priori impossible. Il fut certain à cet instant qu’il n’était pas le fils de ses parents. Il s’acharna durant des jours sur ses parents pour trouver la solution à ce relatif souci. Il se mit des idées en tête et appris à dissimuler ses pensées pour ne pas dévoiler et faire de peine à ceux qu’il aimait tout de même. Il sut lors de son onzième anniversaire qu’il avait été adopté. Cela lui causa un choc et malgré le fait qu’il s’en doutait, il fut particulièrement touché. Il perdit la voix et les crises respiratoires se manifestèrent de plus en plus. D’aucuns auraient hurlé à l’anormalité, ou à la présence d’un Origniel dans cette famille, cela n’était pas logique qu’un garçon Amélioré perde ainsi l’usage de sa voix et la faculté naturelle de respirer. De plus d’être fragile et peu habile dans la pratique sportive n’était pas non plus un bon signe. Mais sa famille n’était pas parmi les modérés, son père voulait lutter et détruire tous les Originels qui ne comprenaient pas que les Améliorés étaient l’avenir. Donc personne ne semblait lui poser de problèmes. Oh, on se moquait de lui lorsqu’il s’effondrait avec la respiration sifflante. Ou bien on le montrait du doigt alors qu’il devait se retenir aux murs quand un vertige puissant le prenait. Mais jamais on ne le fit devant ses parents. Les enfants de cet âge ont beau être cruels entre eux, ils ne sont pas stupides au point d’agir franchement face aux autres.

Que l’on ait pu lui mentir à ce point sur ce qu’il était réellement l’avait totalement perturbé et il se mura dans une attitude de rejet des autres. Ce fut à cette époque qu’il commença réellement à apprécier la spiritualité et plus particulièrement la mythologie de l’ancienne Egypte. Cela lui vint certainement par analogie avec son nom et son prénom d’origine égyptienne, mais une fois qu’il eut découvert cet aspect de l’histoire, il se plongea totalement dedans. Et, malgré sa totale aphonie plus ou moins volontaire, il continua à progresser dans ses études et ne fut pas particulièrement sanctionné.

Ses parents avaient maintenant bien compris que leur fils unique pouvait leur en vouloir pour ces cachotteries, mais qui aurait pu penser qu’une maladie génétique serait possible pour un enfant Amélioré. Et que cette maladie soit alliée à une relative instabilité psychologique ? Ils tentèrent par de nombreux moyens de résoudre les problèmes de leur fils, que ce soit médical, psychique ou même par la menace ou la promesse de récompenses, l’enfant gardait un silence absolu.

Ils cherchèrent à ce moment à lui expliquer son enfance et ce qu’ils savaient de lui avant son adoption. Ils se dirent que cela aiderait l’enfant à comprendre ce qui les avait poussé à lui taire ce passé.

Naos écoute moi, nous n’avons jamais voulu te faire du mal en te taisant ton passé. Mais même nous ne le connaissons pas très bien. Les membres de l’orphelinat nous ont dit que tu leur avais été confié par un homme qui n’était pas ton père. Cet homme leur a affirmé que tes parents n’étaient pas capables de t’assumer et qu’il fallait te placer dans une famille aimante. Il a également précisé que tu n’aurais certainement aucun souvenir de cette période puisque tes parents naturels n’étaient pas de bons parents. Je ne sais pas ce qu’il a voulu dire par là et je n’ai pas cherché à le savoir. Mais tu es notre fils et nous t’aimons. Ne nous demande pas pourquoi tu as été choisi plutôt qu’un autre, c’est impossible à dire. Tu as été celui que nous voulions et je pense que tu sais que nous t’aimons aussi fort que si tu étais notre enfant biologique.

L’enfant avait assez mal réagi à ce discours, s’enfermant dans sa chambre pour repenser à tout ce qu’il venait d’apprendre. Il était un Amélioré, cela il en était certain car les analyses étaient formelles. Mais en plus de ça il avait cette maladie, le docteur lui avait dit que ce n’était pas de chance et qu’il n’y avait pourtant qu’une infime probabilité que cela se produise. Mais c’était pourtant ce qui venait de se passer, il était malade alors que ses gènes ne devraient pas lui faire défaut. Naos voulait être ailleurs, il ne comprenait pas, il n’était pas capable encore de comprendre toutes les implications de cette découverte mais il savait que non, rien ne serait plus comme avant avec ses parents et avec les autres. Il serait l’erreur, celui qui n’avait rien à faire parmi eux. Mais il se promit à cet instant qu’il se battrait pour ne plus être un raté mais un vainqueur et s’il ne pouvait courir ou faire des efforts physiques, il trouverait autre chose pour avancer dans la vie.

Ce ne fut qu’au bout de près d’un an de silence, que la voix cassée de l’adolescent se fit à nouveau entendre. Le psychologue venait de lui demander quel était son but dans la vie et Naos n’avait pas répondu, se contentant de regarder l’homme d’un air patient et calme. Mais l’homme ne comptait pas en rester là et il tenta une approche plus détournée. Il sortit d’un tiroir de son bureau, un livre magnifique sur l’Egypte ancienne. Le jeune garçon le regarda avec une lueur dans les yeux traduisant son attente et son envie de cet ouvrage qui le rapprocherait de ce qu’il pensait pouvoir être ses racines. En effet, même s’il avait été adopté, il s’était fait à ce prénom « Naos » et à sa signification en ancien égyptien de « sanctuaire sacré ». Il pensait donc en se raccrochant à la spiritualité atteindre par la même occasion ses véritables parents qui, il en était presque certain, étaient morts à présent.

L’homme ne semblait pas pour autant avoir décidé de lui donner le livre, préférant le regarder et le feuilleter sans sembler s’apercevoir de l’intérêt de l’enfant. Naos n’était pas idiot, il avait très bien compris ce qu’on attendait de lui et, même s’il ne simulait pas sa perte de voix, il sentit qu’il pouvait parler à présent. C’est donc d’une voix cassée et usée qu’il demanda dans une respiration sifflante.

Monsieur, le livre ? Je peux le toucher ?

Il avait si souvent pensé reparler qu’il ne se rendit pas immédiatement compte qu’il avait prononcé ces mots à voix haute. L’homme, lui, l’avait bien entendu et lui fit un sourire tendre et heureux. L’enfant avait vu et vécu trop de choses pour que son avenir continue à être noir. Il tendit le volume précieux et l’enfant le remercia d’un signe de tête.

Dès lors, Naos sembla décidé à rattraper l’année perdue en paroles et à toujours faire entendre le son de sa voix aux autres. Il perdit assez rapidement l’enrouement dû à la longue inactivité de ses cordes vocales et reprit sa place logique dans l’enseignement. L’adolescence le touchait et là où ses camarades aimaient de plus en plus courir ou faire du sport pour impressionner les filles, lui se cantonnait aux livres et aux études plus théoriques que pratiques. Son père le voyait déjà continuer sa vie parmi les tubes à essai chimiques ou bien au milieu des livres avec sa mère, mais il en avait décidé autrement. N’ayant pas pardonné leur trahison à ses parents, il voulut entrer au Collège. Il savait que cela serait compliqué, mais il avait décidé d’attendre son heure et de ne pas subir de moqueries. Les exploits sportifs ne seraient jamais pour lui, il serait toujours moins que les autres, mais il ne perdrait pas pour autant un rôle dans la vie du Collège, le physique n’est pas tout et il leur montrerait.

Arrivé à ses seize ans, il fut accepté au Collège malgré ses problèmes de santé. Il avait toujours voulu y entrer depuis qu’il savait que la bibliothèque du lieu était extraordinairement fournie dans tous les domaines. Il s’était dit qu’ainsi il en apprendrait plus sur l’esprit et sur ceux qui avaient étudié avant lui. Depuis, il vit au Collège et s’est considérablement éloigné de ses parents adoptifs. Ils ont toujours une place dans son cœur, mais il ne peut oublier leurs mensonges durant tant d’années.

Vos motivations d'entrée au Collège/ l'Académie et votre arrivée :
Naos n’a jamais voulu devenir un soldat ou un membre de l’armée. Cependant, sa soif de savoir l’a tout naturellement conduit vers le Collège. Il était un élève sérieux et n’a jamais eu de véritables soucis pour passer en année supérieure même s’il n’était pas le meilleur de sa promotion. Il a donc tout naturellement tenté d’entrer dans l’établissement qui lui permettrait de continuer à apprendre. Sa lettre de candidature fut claire et précise.

Citation :

Monsieur le directeur,

Passionné depuis la plus tendre enfance par les études, je souhaite poursuivre mon éducation au sein de votre établissement. Je ne vous mentirai pas en vous annonçant que je suis un élève exceptionnel ou bien particulièrement doué dans un domaine précis utile pour votre enseignement, car j’imagine que l’étude des anciennes religions ne fait pas partie du bagage nécessaire au recrutement par l’armée. Cependant, je pense avoir le niveau pour faire mes études au Collège et l’envie pour les réussir. Enfin, il est vrai que je souffre parfois d’une maladie génétique que même notre avancée n’a pu contrecarrer. Cette maladie m’interdit les exercices physiques intenses mais ne me dérange pas pour tous les exercices mentaux. Je pense donc, monsieur le Directeur, que mon entrée au Collège pourrait être possible. Vous pourriez m’objecter que mon état de santé précaire implique que je ne suis peut-être pas totalement Amélioré et vous auriez raison si les analyses faites par de nombreux médecins ne vous contredisaient. En effet, depuis mon plus jeune âge je sais que mes gènes sont purement Améliorés. Et il est, vous le savez, pratiquement impossible de se tromper à ce point.

Ensuite si vous considérez que le fait de ne pas pouvoir faire du sport ou participer à l’entrainement physique au même niveau que mes camarades soit un handicap pour mes études, je vous répliquerai que j’en suis conscient et que la stratégie est également un des piliers des études militaires. Il n’y aura peut-être pas de place pour moi dans un escadron de terrain, mais je peux me rendre utile lors des préparations de mission ou même en tant que soutien technique avec des camarades. Ne pensez pas non plus que je tenterais de tirer au flan, jamais cette idée ne pourrait me venir car je ne veux pas de traitement de faveur. Si je gagne une place parmi vous ce ne sera pas pour mes beaux yeux mais pour mes compétences, aussi pénible que cela doive être pour moi.

Enfin, mon intégration ne posera pas de problème, je suis habitué à présent aux critique des autres de mon âge, me trouvant trop faible pour être réellement utile. Mais jamais je ne les laisserais me détourner de ce que je souhaite. Mon caractère et mon âme sont habitués à ces moqueries et croyez moi, même si cela n’est jamais plaisant, je ne compte pas les laisser ainsi me dévaloriser.

Cette lettre vous paraîtra peut-être trop peu objective, mais ainsi vous apprendrez à me connaître réellement.

Cordialement, Naos Anoukis

Il ne mentionna pas son envie de passer du temps à la bibliothèque pour continuer dans le domaine d’études qu’il affectionne mais cela ne concernait pas le directeur et n’était pas digne d’être mentionné. Le directeur décida visiblement de lui donner une chance, puisqu'il pu entrer au Collège et faire ses études. L'homme devait avoir pris conscience que les stratèges étaient une pierre importante dans l'édifice de l'armée ou alors il dévoilait qu'il aimait aider les autres. Depuis il vit en permanence dans l’établissement et ne cherche pas à se lier outre mesure avec les autres. Les deux premières années d’étude lui parurent intéressantes et il veut continuer à apprendre dans tous les domaines qu’on pourra lui enseigner. C’est dans cette optique qu’il commence sa troisième année.


Hors-Jeu

Vous : Twilight sur l’Enae ^^
Votre âge (réel) : nooon c’est trop horrible je ne peux pas le dire !
Votre addiction au net (en h/jour ) : Trop selon beaucoup de gens, très bien selon moi.
Comment avez-vous connu Black Hole Chronicles? : Par l’Enae, vive l’Enae
Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : Parce qu’on a besoin de moi ^^ (enfin peut-être).
Thème musical : là
Est-ce votre dernier mot ? : Si je dis oui ça n’ira pas puisque j’aurais un dernier mot différent, donc non.