[PNJ] Douglas Hamerfield

Nom : Hamerfield
Prénom(s) : Douglas Wyatt Regis
Surnom : Doug’
Age : 45 ans
Nationalité : Afro américaine
Etat civil : Célibataire
Job : Directeur du Chroniqueur
Adresse : Les Bureaux du Chroniqueur et son appartement, Black Hole

Statut : Originel
Pouvoir : /

Clan : Originel

Famille

De façon générale : Entièrement Originelle

Père : Reginald Hamerfield. Il a travaillé toute sa vie dans des conditions difficiles pour pouvoir nourrir sa famille. C’est un homme dur et sévère qui a parfois du mal à montrer ses sentiments

Mère : Henrietta Doufa. Mère au foyer, elle a élevé ses enfants leur offrant tout son amour

Autres membres : Douglas a 2 frères et 3 sœurs, mais aujourd’hui, il ne les voit presque plus à cause de son travail. Il doit son sang américain à son grand père paternel, le reste de sa famille étant d’origine africaine

Description

Physique : Douglas est un homme grand, avec une carrure assez importante digne des plus grands sportifs. Il affiche une couleur de peau cacao, héritage de ses origines africaines et américaines. Ses yeux bruns et sombres abritent en permanence un regard sérieux. Il affiche aujourd’hui un crâne rasé et une fine barbe. Il fait également très attention à soigner son apparence. Après tout, c’est quand même lui le boss…

Particularité(s) : Il dégage comme odeur en permanence un subtil mélange de cigare et de menthe poivrée. Il est accro à la caféine et aux beignets

Attitude : Il est un peu pince sans rire et quand il n’est pas à son bureau, il aime lire un bon roman policier avec un bon verre de scotch. Le tout accompagné d’un cigare cubain.

Caractère : Douglas est un fonceur dans la vie. Il ira toujours droit au but. Mais c’est aussi quelqu’un prêt à tout pour obtenir ce qu’il veut et dans le monde du journalisme, personne ne fait de cadeaux à personne, c’est bien connu. C’est au premier qui publiera les meilleures informations et les derniers évènements sanglants pour obtenir son chiffre d’affaire. Et Douglas ne fait pas exception à la règle quand il s’agit de faire avancer son journal, il serait capable de vendre son âme au diable. Cela lui arrive de manipuler les gens et de mentir mais c’est sa profession qui l’y oblige. Il n’a pas le choix s’il veut avancer dans ce monde de requins. Et de toute façon, tout le monde le fait et personne n’ignore les méthodes de sa principale concurrente, Lyriana Fairbanks, réputée pour avoir les dents longues, bien plus que les siennes. Il n’occuperait pas non plus la place de directeur de son journal sans avoir une certaine ambition qui le guide depuis qu’il sait poser un pied devant l’autre.


Histoire

Votre passé : Douglas est né dans les quartiers pauvres de la ville de Boston. Celle-ci, ravagée par les premiers conflits fut l’une des premières villes à être plus ou moins reconstruite. Mais on n’efface pas des cicatrices de guerre aussi importantes d’un simple coup de grue et la ville de Boston actuelle est bien différente de celle du XXIe siècle. Cependant, s’il y a bien une chose qui ne change pas, c’est l’inégalité flagrante qui a toujours divisé les hommes. Certains naissent dans une famille qui leur offrira tout ce dont ils auront besoin, d’autres devront passer leur vie à travailler pour subvenir à leurs besoins. C’est le cas de Douglas.

Certes, il fut encore plus ou moins bien loti comparé à certains de ses camarades de classe, mais il n’empêche que la vie n’a pas toujours été très rose pour lui. Tout ce qu’il possède aujourd’hui, il le doit à la sueur de son front et à son acharnement sans borne pour son travail. Très tôt, son père a insisté pour qu’il aille à l’école et pour qu’il fasse des études qui le mèneraient loin, ou en tout cas plus loin encore qu’il n’avait pu aller lui-même. Et c’est pour qu’il puisse être fier de son fils que Reginald Hamerfield s’est tué au travail.

Malgré sa volonté de briller aux yeux de son père, l’adolescence de Douglas fut assez perturbée. Comme tous les jeunes de son âge, il fut confronté aux divers problèmes rencontrés lors de cette phase assez houleuse de tout individu. Il a connu les gangs de rue, la boisson et la drogue très jeune et s’il n’avait pas réussi à décrocher, il ne serait pas devenu l’homme qui l’est aujourd’hui. Cette remise sur le droit chemin, il la doit à sa rencontre avec un de ses professeurs de lettres. Sans doute le meilleur qu’il ait jamais eu. Celui-ci a très vite décelé un talent certain pour l’écriture chez Douglas et il l’a encouragé à continuer dans cette voie plutôt que de se détruire la santé dans les rues. Il lui a même proposé d’occuper le poste de rédacteur en chef du journal de son lycée. Douglas, d’abord hésitant, a fini par accepter et aujourd’hui encore, il ne le regrette pas car cette expérience fut très enrichissante et c’est grâce à celui qu’il a trouvé sa voix dans des études de communication à l’université.

Une fois son diplôme en main, il a cherché du boulot et comme tout le monde, il n’a pas trouvé tout de suite. Il a vécu de petits boulots en petit boulots pendant plusieurs mois avant d’être engagé comme responsable de la rubrique faits divers pour le Chroniqueur. Ce n’était pas vraiment la meilleure place, mais il travaillait néanmoins pour Le Chroniqueur, ce qui n’était quand même pas rien ! Et finalement, d’années en années, à force de travailler et de quitter le bureau bien souvent après tout ses collègues, son acharnement fut récompensé. Il a gravit les échelons et lors de la retraite du précédent directeur de son journal, on lui a proposé d’occuper sa place. Douglas, très fier, a accepté tout de suite et aujourd’hui, son journal est ce qu’il a de plus précieux. Il est prêt à tout pour le faire vivre, après tous les sacrifices qu’il a accomplit pour obtenir cette place !

Vos motivations d'entrée au Collège/ l'Académie et votre arrivée : Il n’y est pas allé, il ne se voyait pas du tout faire une carrière militaire alors qu’il sentait son destin tout tracé dans les Lettres. Cependant, l’Académie a tout son soutien pour le combat qu’elle mène contre les Améliorés. Il ne les déteste pas vraiment, mais selon lui, leur rappeler de temps en temps leur place ne leur feraient pas de torts !